COMBAT MYSTIQUE

Ce livre décrit la lutte qui aujourd’hui fait rage entre la Vérité et le Mensonge, le Bien et le Mal, le Sacré et le Profane, les Charismes et les “Puissances”. Les Charismes sont accordés par Dieu, les “Puissances” ou “Pouvoirs” sont accordés par Satan. Bien que ce combat titanesque soit surtout de nature mystique, ses répercussions dans notre vie quotidienne sont inévitables. Ceux qui en sortiront vainqueurs gagneront le droit d’accès au Royaume messianique, le nouvel Éden que les Prophètes chrétiens contemporains nous présentent comme imminent.

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Chapitre 1
I - LA LUTTE ENTRE LE SACRÉ ET LE PROFANE
1 - Le Dogme eucharistique menacé.
2 - Sur la valeur de la Messe comme Sacrifice d’expiation. (Texte de 1931).
3 - L’Eucharistie: Jésus à Mgr Michelini.
4 - Kérizinen. (Sur l’Eucharistie).
5 - L’Eucharistie: la Vierge à don Gobbi.
6 - L’Eucharistie: Jésus à Vassula Ryden.
7 - Lanciano. (Le Miracle eucharistique).
8 - L’ADN du Christ.
9 - Hymne aux Tabernacles. (Alexandrina-Maria Da Costa).
Chapitre 2
II - LA LUTTE ENTRE LE VRAI ET LE FAUX
1 - Jean-Paul II: le Ciel nous en parle.
2 - La Vérité, une opinion ?
3 - Démocratie et Théocratie.
4 - Quand la démocratie entre à l’Église.
5 - Péché et pécheur.
6 - Primauté de Pierre.
7 - L’élection d’un Pape: conditions de validité.
8 - Synodes épiscopaux: infaillibilité conditionnelle.
9 - La boussole des évêques: l’infaillibilité papale.
10 - Question de fidélité.
11 - Abomination et Désolation.
12 - Dans le Divin Vouloir, le remède.
Chapitre 3
III - LUTTE ENTRE LES CHARISMES ET LES “PUISSANCES”
1 - Le “Culte Vineyard” (ou “Toronto Blessing”, ou: “du Saint Rire” ).
2 - Les “Glisseurs”, ou “Faufileurs”.
3 - Un détail pouvant servir à identifier les faux mystiques.
Appendice
APPENDICE
1 - Trois exemples sur la Divine Volonté: (1 - Chauffeur privé. 2 - Les échecs. 3 - L’amour à son meilleur).
2 - La centrale hydroélectrique.
3 - L’Arbre aux dévotions.
4 - La source assoiffée.
5 - Le Ciel… mais comment est-il?
6 - Les athlètes dans le stade.
7 - L’oiseau sans ailes.
8 - Manger, mais au sens spirituel.
9 - Deux figures d’Israël.
10 - Temps de moisson: le temps actuel.

 

Chapitre 1

Lutte entre le Sacré et le Profane

 

1 – Le Dogme eucharistique menacé.

L’extrait qui suit nous parle du danger que représente pour chaque chrétien catholique l’abolition du saint Sacrifice de la Messe. Son but est de nous préparer à la lecture de la section # 2 qui, elle, nous offre un texte rédigé en 1931 (et appuyé d’un “Imprimatur” officiel) sur “la valeur de la sainte Messe comme Sacrifice d’expiation”. Une lecture calme de ces deux textes permettra au lecteur chrétien d’apprécier encore plus le privilège qu’il a de pouvoir assister à la célébration de la sainte Eucharistie, pour le temps que cela va encore durer (avant que les persécutions ne commencent sur une grande échelle). Par la bouche de son prophète, qui dans ce cas est le Père Gobbi, la Sainte Vierge nous avertit que les signes qui vont précéder et accompagner la grande Purification (préparatoire au retour du Christ) sont au nombre de cinq. D’après le quatrième de ces signes, le saint Sacrifice de la Messe sera aboli pendant un certain temps. Si la Sainte Vierge se donne la peine de nous avertir à l’avance de ces choses, cela doit avoir son importance. Et d’ailleurs il existe un proverbe très connu qui dit: “Un homme averti en vaut deux”. Voici donc les paroles de la Sainte Vierge au Père Gobbi: don Stefano Gobbi:

«Le quatrième signe est l’horrible sacrilège commis par celui qui s’oppose au Christ, c’est-à-dire l’anti-Christ.

[Consulter: 2 Th 2, 4]: 

“Il entrera dans le temple saint de Dieu et siégera sur son trône, se faisant adorer lui-même comme Dieu”.

 [Consulter: Mt 24, 15]: 

“Un jour vous verrez dans le lieu saint celui qui commet l’horrible sacrilège”.

[Consulter: Dn 12, 11-12]: 

“À partir du moment où sera aboli le sacrifice quotidien et sera érigée l’abomination de la désolation, il y aura 1290 jours. Heureux celui qui attendra avec patience, et atteindra 1335 jours”.

La sainte Messe est le sacrifice quotidien, l’offrande pure offerte partout au Seigneur, du lever au coucher du soleil. Le sacrifice de la Messe renouvelle celui accompli par Jésus sur le Calvaire. Si on accueille la doctrine protestante, on dira que la Messe n’est pas un sacrifice, mais seulement une cène, c’est-à-dire le souvenir de ce que Jésus a fait à la dernière cène. Ainsi on supprimera la célébration de la sainte Messe. C’est dans cette abolition du Sacrifice quotidien que consiste l’horrible sacrilège accompli par l’anti-Christ. Il durera environ trois ans et demi, c’est-à-dire 1290 jours. »

Le message ci-haut rapporté a été reçu par don Gobbi le 31 décembre 1992, à Rubbio, Italie. Si ce qui est dit dans le message se réalise tel qu’annoncé, la vraie Messe ne sera plus célébrée dans les églises, mais en cachette, dans des maisons privées. Les maisons privées remplaceront les anciennes catacombes. Concernant la durée de ce temps de purification, la Sainte Vierge répète textuellement les mots de la Bible, où il est question de 1290 et de 1335 jours. Par l’entremise de Maria Valtorta nous savons toutefois que l’Apocalypse finale (celle de la Fin du Monde), sera trois fois pire que celle qui frappera la génération actuelle. Donc, étant donné que Maria Valtorta nous dit que l’apocalypse actuelle sera trois fois moins grave que celle de la Fin du Monde, devrions-nous diviser par trois les chiffres des citations bibliques qui, nous le savons bien, se réfèrent à l’Apocalypse finale, celle de la Fin du Monde? La question demeure ouverte. Aussi, étant donné que l’Apocalypse actuelle se situe entre la première (celle du Déluge) et la troisième (celle de la Fin du Monde), est-ce qu’elle ne devrait pas être considérée comme étant l’Apocalypse intermédiaire? La logique le voudrait.

 

2 - Sur la valeur de la Messe comme Sacrifice d’expiation.

Texte de 1931.

«La mort de Notre Seigneur sur la Croix, au Calvaire, voilà le grand trésor. Le saint Sacrifice de la Messe est la clé avec laquelle nous avons accès au coffre qui renferme ce trésor, et le Bon Dieu nous permet d’y puiser à pleines mains. Chaque fois que nous assistons à la sainte Messe, nous obtenons les mêmes faveurs que si nous étions présents à la mort de Jésus, sur le Calvaire. Lorsque Jésus descend sur l’autel, il vient avec beaucoup d’anges, qui eux aussi prient avec nous et pour nous. Après la consécration, Jésus est réellement présent sur l’autel. Il est présent de façon aussi réelle que lorsqu’il était dans ce monde, sa présence ayant commencé dans l’étable de Bethléem, la nuit de Noël. Sur l’autel, Jésus s’offre pour nous, prie avec nous, et appuie nos demandes.

À Sainte Mecthilde, Notre-Seigneur a révélé que nous pouvons offrir la sainte Messe au Père éternel en même temps que le prêtre, comme un trésor qui nous appartient totalement. La récompense que Dieu nous réserve va être très généreuse. Au moment de l’élévation, Sainte Colette a vu Notre-Seigneur sur la Croix, couvert de sang et de plaies, priant pour les pécheurs. Saint Laurent Justinien dit que des centaines de pécheurs sont sauvés par les prières que Jésus offre pour eux à la Sainte Messe.

En participant avec dévotion à la sainte Messe, nous procurons à Dieu plus de gloire et amassons plus de mérites que par toutes les autres prières et bonnes œuvres. Par une seule Messe nous expions plus de péchés que par les pénitences les plus austères. Par la Messe nous témoignons à la Sainte Trinité, d’une manière digne d’Elle, toute la reconnaissance que nous lui devons. Une seule Messe à laquelle nous assistons nous-mêmes, nous sera plus utile que plusieurs que l’on fera dire pour nous après notre mort. En assistant avec dévotion à la Sainte Messe, nous nous préservons des malheurs qui nous arriveraient si volontairement nous refusions ce secours. Même les affaires temporelles vont mieux grâce aux bénédictions que nous procure la sainte Messe.

La Messe nous obtient le pardon des fautes vénielles, celles que nous sommes résolus à corriger. Elle nous obtient aussi la grâce et la force de vaincre les tentations, la conversion des pécheurs, la guérison des malades. La sainte Messe nous permet d’obtenir la grâce d’une sainte mort. À chaque Messe à laquelle nous participons avec foi et piété, nous diminuons un peu notre purgatoire, de sorte que nous pouvons espérer un purgatoire moins souffrant, et de plus courte durée. En plus, à chaque Messe on obtient une augmentation de gloire et de bonheur pour le ciel.

Si nous ne pouvons pas faire célébrer de Messe pour les défunts qui nous sont chers, nous pouvons délivrer entièrement les âmes de ces mêmes défunts en assistant dévotement pour eux à une ou plusieurs Messes. Lorsque nous assistons à la sainte Messe pour honorer un saint, nous ne pourrions rien faire qui lui soit plus agréable. Il prend alors nos intentions très à cœur. Au sortir de la vie, lorsque nous paraîtrons en présence du Juge souverain qui nous montrera toute notre vie et nous demandera de lui en rendre compte, les Messes auxquelles nous aurons participé seront notre consolation.

Si on tient compte du cercle complet de la terre, le saint Sacrifice de la Messe est offert jour et nuit, et nous pouvons nous unir à ces Sacrifices offerts en continuation. Cela a pour effet de donner plus d’efficacité à toutes nos prières. Lorsque le prêtre bénit le peuple, Jésus ratifie cette bénédiction, et par ce moyen il éloigne de nous l’ennemi infernal. Si nous nous privons d’assister à la Messe, et cela par négligence, nous subissons une perte considérable. »

Imprimatur: P. Cloutier  (Delegatus Vicarii Capitularis). Québec, 18 août 1931

 

3 - L’Eucharistie: Jésus à Mgr Ottavio Michelini.

Le livre “Confidences de Jésus à ses prêtres et à ses fidèles”, a été écrit par Mgr Ottavio Michelini sous la dictée de Jésus. Voici ce qu’on peut y lire à la page 279 au sujet du Mystère eucharistique.

28 mai 1978. 

«Aujourd’hui, c’est la fête de mon Corps et de mon Sang. Ce mystère doit être accepté et vécu sur la base de la véracité de ma Parole. Ce mystère, déjà annoncé à plusieurs reprises dans la sainte Bible, révélé ensuite par Moi, institué durant la dernière Cène, est le don le plus grand que Dieu pouvait faire à l’humanité, mais spécialement à son Église, pour la vie même de cette dernière. Il est au centre des épreuves exigées par le Père pour l’entrée dans le Royaume des Cieux. Il est l’objet de ces épreuves. Il en constitue l’âme, qui se transforme en vie par l’espérance et l’amour.

Oh! Si les hommes, mon fils, savaient préserver leur cœur pur et exempt du péché, quelle force, quelle lumière ils trouveraient dans ce mystère d’amour. Le mystère de mon Corps et de mon Sang est tout ce que Dieu, dans son infinie miséricorde, a pu et voulu donner à l’humanité comme témoignage de son Amour infini pour cette humanité.

L’amour me tient prisonnier dans le Mystère eucharistique.

Mon fils, le Mystère eucharistique est un miracle continuel qui ne cède en rien au miracle de la création de l’univers, et à celui de la Rédemption. ( ... )  L’amour qui me tient prisonnier dans le Mystère eucharistique est le même amour qui m’a conduit sur la Croix.

Mon fils, les motifs de crédibilité de ce grand mystère ne manquent pas; bien plus, non seulement ils ne manquent pas, mais ils abondent. S’il y a des chrétiens qui affirment ne pas y croire, c’est uniquement par une volontaire et coupable ignorance religieuse. S’il y a des chrétiens qui profanent le Mystère de l’amour, c’est parce qu’ils se sont donnés corps et âme à Satan, qui a pénétré si profondément dans leur cœur qu’il en est devenu le maître absolu.

 

L’heure est proche, et elle est inévitable.

Il y a des prêtres - il y en a tant, et pas seulement des simples prêtres - qui célèbrent de façon sacrilège le saint sacrifice de la Messe. Ceux-ci, comme les anciens prêtres hébreux, dominés par les deux concupiscences de l’esprit et de la chair, ne peuvent ni voir ni comprendre parce qu’ils sont enveloppés de la même obscurité démoniaque que les anciens prêtres hébreux, de sorte qu’on peut dire d’eux, et avec raison:

“L’homme naturel n’est pas en état de recevoir ce qui vient de l’Esprit de Dieu”. Mon fils, tu connais bien l’état de terrible dépression dans lequel est tombée mon Église. Désormais elle en est saturée. Tous les appels n’ont servi à rien. L’heure approche de façon inévitable où mes ennemis, les nouveaux Judas vendus aux puissances obscures du Mal, seront détruits et dispersés comme poussière au vent.

Prie, mon fils, répare par tes souffrances! Il importe peu que tu comprennes; il importe qu’avec une grande humilité tu puisses croire, croire fermement en Moi, Parole vivante et éternelle de Dieu, présent dans mon Église dans le grand Mystère de l’amour et de la Foi; présent et très souvent “seul” dans mes tabernacles. »

 

4 - Kérizinen. (Sur l’Eucharistie).

Au sujet du Mystère eucharistique, la voyante de Kérizinen nous dit que Jésus lui a confié les paroles suivantes:

1. - «De vos jours plus que jamais les hommes sont avides de voir des miracles, d’entendre des nouveautés. Et passe inaperçu pour un grand nombre le plus beau des miracles: mon Eucharistie. Beaucoup désireraient même me voir extérieurement; mais toutes ces faveurs que j’accorde ne valent pas une seule communion: elle vous donne l’Auteur de tout bien. Venez souvent au pieds de mes autels. Vous entendrez les battements de mon Cœur eucharistique, qui sont des battements d’amour. Mon Cœur vivant dans l’Hostie est un miracle constant, perpétuel. Que vous faut-il de plus?» (22 juin 1962).

2. - «Venez souvent à la Table sainte. Venez-y malgré vos misères spirituelles et vos défauts. Venez-y précisément à cause de vos imperfections. Car l’Eucharistie n’est pas la récompense du mérite et de la sainteté, mais le moyen d’y parvenir. L’Eucharistie fortifie la vie spirituelle de l’homme, réconforte et refait vos âmes sous tous les rapports. Et si vous me laissez agir, bien vite Je transformerai vos âmes en ciboires vivants où Je pourrai demeurer constamment et, en vous, on ne connaîtrait alors rien autre que votre Jésus, vivant en vous, laissant derrière Lui un sillage de lumière et le baume de son Cœur.» (23 juin, 1962).

3. - «Je suis si heureux de naître entre les mains d’un prêtre rempli d’amour! Je m’appuie sur lui. Je le serre sur mon Cœur comme Je le fis autrefois à Jean, mon disciple bien-aimé.» (24 juin, 1962).

4. - «J’ai soif d’âmes. J’aime toutes les âmes d’un tendre amour, car chacune d’elles est comme une partie de Moi-même. Elle est le prix de mon Sang, versé lors de ma Passion douloureuse. Je suis si seul dans mes tabernacles de pierre! Je veux des tabernacles vivants qui me consolent par leur amour. Mes délices sont d’être avec les enfants des hommes.» (26 juin, 1962).

5. - «Aimez-Moi pour ceux qui ne m’aiment pas, pour ceux qui me persécutent. Si les bons étaient meilleurs, il n’y aurait pas tant de méchants. Or ils ne seront meilleurs qu’en honorant et en aimant davantage mon divin Cœur caché dans l’hostie.» (27 juin, 1962).

6. - «Je cherche partout des âmes fidèles, des apôtres à qui faire des confidences, mais J’en trouve si peu parce que Je prêche, Je rachète, Je sanctifie les âmes sur la Croix. Or cette Croix, la plupart de mes amis l’ont en horreur. Mais vous qui m’aimez sincèrement, offrez-moi votre amour, vos sacrifices, vos désirs de sainteté. Offrez-moi souvent vos communions réparatrices. Soyez des apôtres de feu. Gagnez-moi des âmes. Contemplez mon Cœur qui a tant aimé les hommes. Contemplez-le, rassasié d’opprobres dans l’Hostie divine. Entendez les palpitations de son amour. Regardez les flammes de charité qui le dévorent.

Petites âmes, hosties simples et bien oublieuses de vous-mêmes, voici mon Cœur: Je vous le donne en échange du vôtre, chétif et ingrat. L’acceptez-vous? Alors, tendez-moi vos mains, ouvrez-moi vos âmes pour recevoir le don suprême de ma Miséricorde rédemptrice. Gardez vos yeux fixés sur la blessure de mon Cœur et contemplez, à travers cette plaie divine le Cœur qui vous a tant aimés. Le voici, entièrement vôtre, dans le buisson ardent du saint Autel, dans la sainte Eucharistie.» (29 juin, 1962).

La Sainte Vierge aurait à son tour parlé, en prononçant les paroles suivantes:

«Et maintenant, mon enfant, moi qui te parle, je te dis: écoute sur mes lèvres, qui sont les lèvres de ta Maman, le cri d’amour que mon Fils a lancé un jour pour toi: “C’est à la veille de ma mort que J’ai créé l’Eucharistie... après avoir trouvé dans mon Cœur, et dans ma Puissance aussi, le secret d’être en même temps le Dieu qui s’en va et Celui qui reste. Comprenez la joie débordante de mon divin Cœur, ce soir-là, après l’institution du Sacrement. C’est là que j’ai pensé à toutes les âmes qui, dans la suite des temps, trouveraient force, joie, amour et paix dans mon Cœur eucharistique”. » (4 décembre 1964).

 

5 - L’Eucharistie: La Sainte Vierge à don Stefano Gobbi.

Les trois textes qui suivent, présentés en ordre chronologique, ont été écrits par don Stefano Gobbi. Pour les lire au complet il suffit de consulter le “Livre bleu” du Mouvement Sacerdotal Marial, aux dates indiquées.

1. - Rubbio, Italie. Le 21 août 1987. 

 «Le Christ instaurera son Règne glorieux dans le triomphe universel de son Règne eucharistique qui se développera dans toute sa puissance et aura la capacité de changer les cœurs, les âmes, les personnes, les familles, la société, la structure même du monde. «Lorsque Jésus aura instauré son Règne eucharistique, il vous conduira à jouir de son habituelle présence que vous sentirez d’une manière nouvelle et extraordinaire, et qui vous amènera à faire l’expérience d’un second Paradis terrestre, renouvelé, plus beau. ( ... ) 

2. - Rubbio, Italie. Le 12 avril, 1990. (Jeudi saint). 

«... “Jésus, ayant aimé les siens qui étaient dans le monde, il les aima jusqu’au bout”. C’est ainsi que Jean, l’Apôtre bien-aimé, introduit dans son Évangile le récit de l’institution de l’Eucharistie, le nouveau sacrifice du nouveau sacerdoce. ( ... )  “Il les aima jusqu’au bout”, c’est-à-dire jusqu’à l’extrême exigence de l’amour, qui veut la présence de la personne aimée. Dans l’Eucharistie Jésus demeure toujours avec vous, réellement présent avec son corps glorieux et sa divinité, comme il l’est au paradis, même s’Il est caché sous le voile des espèces Eucharistiques. “Je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin des siècles”.

“Il les aima jusqu’au bout”, c’est-à-dire jusqu’à l’extrême limite de votre misère et de votre pauvreté car, dans le Sacrement de l’Eucharistie, Jésus devient une seule chose avec vous. Il devient chair de votre chair, sang de votre sang pour vous communiquer le don précieux de sa Vie divine, vous la communiquer à vous, créatures terrestres. “Je suis le Pain Vivant descendu du Ciel. Celui qui mange de ce pain vivra, et je le ressusciterai au dernier jour”. “Il les aima jusqu’au bout", c’est-à-dire jusqu’à la Fin des temps, parce que la présence du Christ parmi vous en tant que victime, dans tous les tabernacles de la terre, vous donne sécurité et confiance, joie et espérance dans son glorieux retour. “Nous annonçons ta mort, Seigneur, nous proclamons ta résurrection, dans l’attente de ta venue”. ( ... )

Je vous demande en ce jour, mes fils bien-aimés, de renouveler votre engagement d’amour envers Jésus présent dans l’Eucharistie. Faites de la sainte Messe le centre de toute votre piété, le sommet de votre journée sacerdotale, le cœur de votre action apostolique. Célébrez-la avec amour, avec une scrupuleuse observance des règles liturgiques. Vivez-la par une participation personnelle au sacrifice que Jésus renouvelle par vous. Entourez de lumières et de fleurs le tabernacle, où Jésus eucharistique est gardé. Allez souvent devant le tabernacle pour vos rencontres personnelles d’amour avec Jésus qui vous attend. Qu’Il devienne pour vous le trésor unique et précieux qui attire, comme un aimant, votre cœur sacerdotal. Exposez aussi Jésus eucharistique sur l’autel pour des heures solennelles et publiques d’adoration et de réparation, parce que l’avènement de l’Ère nouvelle suscitera une nouvelle efflorescence du culte eucharistique dans toute l’Église. En effet, l’avènement du Règne glorieux du Christ coïncidera avec la plus grande splendeur de son règne eucharistique parmi vous. Jésus eucharistique libérera toute sa puissance d’amour, qui transformera les âmes, l’Église, et toute l’humanité.

L’Eucharistie devient ainsi un signe de Jésus qui, aujourd’hui encore, “vous aime jusqu’au bout”, parce qu’il vous conduit jusqu’à la fin de vos temps pour vous introduire dans l’Ère nouvelle de sainteté et de grâce vers laquelle vous êtes tous acheminés, et qui commencera au moment où Jésus aura instauré son règne glorieux parmi vous.»

3. - Sydney, Australie. Le 21novembre 1993. 

«Le Règne glorieux du Christ coïncidera avec le triomphe du règne eucharistique de Jésus. Parce que dans un monde purifié, sanctifié, et complètement renouvelé par l’Amour, Jésus se manifestera surtout dans le mystère de sa Présence eucharistique. L’Eucharistie répandra toute sa divine puissance et deviendra le Nouveau Soleil qui reflétera ses rayons lumineux dans les cœurs, dans les âmes, dans la vie des individus, des familles, des peuples, faisant de tous une seule bergerie, docile et paisible, dont Jésus sera le seul Pasteur.

C’est vers ces Cieux nouveaux et cette Terre nouvelle que votre Maman du Ciel vous conduit, elle qui vous rassemble aujourd’hui de toutes les parties du monde pour vous préparer à recevoir le Seigneur qui vient. »

 

6 - L’Eucharistie: Jésus à Vassula Ryden.

Le 29 septembre 1989 Jésus aurait donné à Vassula Ryden le message suivant:

«Comment certains d’entre vous peuvent-ils douter de mon Amour, et profaner cet Amour pur et saint? Comment tant d’entre vous peuvent-ils douter de ma sainte présence dans l’Hostie? Ma sainte Eucharistie ne devrait pas être gaspillée ou traitée comme si elle n’était pas sainte. Si seulement vous compreniez pleinement ce que je vous offre, et qui est Celui que vous recevez en vous, vous me béniriez sans cesse. Regardez! Même mes anges, qui vous contemplent d’en haut désirent ce Repas que vous pouvez prendre, alors qu’eux ne le peuvent pas. Cependant beaucoup d’entre vous ne semblent pas percevoir sa plénitude. ...

Je suis un prisonnier d’amour derrière chaque tabernacle, un prisonnier qui attend et espère de vous voir venir. Approchez-vous de moi, vous tous qui errez encore dans ce désert. Venez à moi purs, propres. Laissez-moi me réjouir en vous. Soyez donc encore plus agréables à mon Cœur en vous repentant, en reconnaissant vos péchés. Ne dites pas: “Pourquoi me confesser? Je n’ai rien à dire à mon confesseur.”  Ne soyez pas l’un de ceux qui ont perdu le sens du péché. Vous êtes loin d’être parfaits.

Certains d’entre vous se conduisent encore comme s’ils étaient sans souillure, comme s’ils avaient déjà atteint la perfection. Soyez humbles. Soyez humbles. Vos péchés peuvent être discernés facilement si vous priez avec un cœur sincère, si vous me demandez de l’aide pour les discerner. »

 

7 - Lanciano: le Miracle eucharistique.

Il s’agit d’un miracle véritable, prouvé par des tests scientifiques réalisés de la façon la plus rigoureuse qui soit. Les résultats de ces tests sont toujours accessibles à Lanciano, petite ville du centre de l’Italie. Voici les faits:

Au début du 7e siècle un moine basilien était en train de célébrer la Messe. Après avoir consacré le pain et le vin, il se mit à douter que le Corps et le Sang du Christ étaient présents réellement et substantiellement dans l’hostie et le calice. Au même moment il vit l’hostie devenir un morceau de chair vivante, et le vin consacré devenir du sang réel, qui se coagula en cinq caillots inégaux. Plusieurs siècles après, soit le 17 février 1574, un fait inexplicable se produisit à propos de ce miracle: devant l’archevêque Rodriguez et la foule réunie, on pesa les cinq caillots de Sang coagulé, et on découvrit avec stupeur que chacun d’entre eux, bien que de grosseur différente, était du même poids que les autres, et que les cinq caillots réunis au lieu de donner un poids multiplié par cinq, donnaient encore le même poids, celui de chaque caillot individuel. On en déduit que par ce fait le Seigneur veut peut-être nous montrer ce que l’Église enseigne: que le Christ est totalement présent dans la plus petite partie de l’hostie et du vin consacré. Cette Chair et ce Sang miraculeux furent conservés, et plusieurs analyses en furent faites au cours des siècles. On peut les vénérer encore aujourd’hui dans l’église Saint-François de Lanciano.

Lors des derniers tests scientifiques pratiqués entre le 18 novembre 1970 et le 4 mars 1971 par les professeurs Linoli et Bertelli, on découvrit entre autres que ces substances organiques ne présentaient aucune trace de corruption, alors que depuis des siècles elles se trouvent exposées à l’action d’agents physiques, atmosphériques et biologiques. [1]

1
  • [1] Aujourd’hui la science permet d’identifier l’ADN d’une personne même à partir de traces de sang vieilles de deux mille ans. Pour cela on songe de plus en plus à comparer l’ADN du sang de Lanciano avec celui du Saint Suaire de Turin, et avec celui de la Sainte Ampoule de Bruges. Il existe une prophétie de Maria Valtorta qui dit que dans les gènes de l’ADN du Christ l’Humanité découvrira sous peu la preuve scientifique de la divinité du Christ, fils de Dieu et de Marie de Nazareth. La section suivante (section # 8), le sujet traité concerne justement la découverte de l’ADN du Christ tel que projetée par le docteur Jean Caux.

 

LANCIANO

Église de Saint-François : Voilà comment se présente l’Ostensoir Reliquaire qui contient le Miracle Eucharistique: les cinq caillots de Sang  sont dans le calice transparent qui se trouve en bas, la Chair du Christ est dans l’ostensoir en haut. (Il s’agit d’une section horizontale du myocarde, la partie médiane du cœur humain).

 

8 - L’ADN du Christ.

Quel serait le code génétique de Jésus, fils de la Vierge Marie et du Saint-Esprit: le Dieu incarné? Grâce aux découvertes réalisées au cours des dernières années dans le domaine médical et biologique, les savants d’aujourd’hui seraient en mesure d’effectuer des tests scientifiques sur des traces de sang vieilles de plusieurs milliers d’années. Mais alors, est-ce que l’ADN du Christ, son code génétique, son groupe sanguin, pourraient être identifiés à partir… du Saint Suaire? Oui, ils le pourraient, mais pour appliquer le savoir humain à la personne du Christ il faudrait de la bonne volonté, et celle-ci, malheureusement, n’est pas toujours au rendez-vous. J’en suis extrêmement convaincu, surtout après avoir découvert récemment les choses que voici:

En 1997, suite aux controverses provoquées plus tôt par la publication des résultats de l’analyse du Linceul de Turin au moyen du test au carbone 14, je me suis rappelé que le Seigneur avait parlé du Saint Suaire à Maria Valtorta. J’ai cherché le texte en question, et j’ai fini par le trouver dans le troisième volume de “I Quaderni”, en date du 20 mai 1949 (aux pages 509-510). [2] Voici la traduction française de ce passage:

« Pour qui sait voir, Maria, mon Saint Suaire ne témoigne pas seulement du fait que Je suis vraiment mort et ressuscité, mais aussi de comment J’ai été conçu, et de comment je suis né, pas selon les lois de l’humanité. Mon Saint Suaire est donc une confirmation des vérités que ma religion vous enseigne: ma Conception par l’opération du Saint-Esprit, la divine maternité de Marie, sa perpétuelle Virginité, ma Passion, ma Mort, et ma glorieuse Résurrection. Mais cela ne constitue une confirmation que pour ceux à qui il est donné de voir dans la lumière de Dieu. »

Au cours de la même année j’ai eu connaissance que quelques années plus tôt le docteur français Jean Caux avait proposé au CIELT (Centre International d’Études sur le Linceul de Turin), [3] de prélever du Sang sur la célèbre relique, et d’en vérifier l’ADN pour savoir si ce Sang comportait 24 gênes maternels et 24 gênes paternels comme n’importe quel autre sang humain. Malheureusement la proposition du Dr Caux n’avait pas été retenue par ladite Commission (le CIELT), qui s’est contentée d’autoriser un seul examen, celui du test au carbone 14 sur le tissu, laissant de côté le projet du Dr Caux au sujet du Sang. [4] Or la publication des résultats de l’analyse au carbone 14 sur le tissu a provoqué partout une grande confusion, d’autant plus que l’Église continue d’opter pour l’authenticité de la sainte relique. [5]

J’ai donc contacté le titulaire suisse des Éditions du Parvis, éditeur aussi de la revue “Stella Maris”, et je l’ai mis au courant de ces choses. Celui-ci, souhaitant obtenir confirmation des nouvelles qu’il venait d’apprendre et désireux d’en savoir davantage, s’est mis en contact avec le Dr Caux, qui à son tour lui a fait parvenir des documents relatifs à la question. Par ces documents l’éditeur suisse apprenait que le 7 janvier 1996 le Dr Caux avait renouvelé sa demande au CIELT, en souhaitant que l’on procède sans autres délais à une analyse génétique de ce Sang et, si possible, qu’on pratique le même type d’analyse sur un échantillon du Sang provenant du miracle de Lanciano, et sur celui de la sainte Ampoule de Bruges[6] Pour justifier sa proposition le Dr Caux s’est toujours déclaré convaincu que l’examen de l’ADN du Sang prélevé sur le Saint Suaire pourrait nous dévoiler des choses étonnantes, ce que le texte dicté par Jésus le 20 mai 1949 à Maria Valtorta laisse également entrevoir. De plus, il est fort probable que la réalisation de ce projet mettrait fin au conflit qui est né entre la science et la Foi à propos du Saint Suaire.

2, 3, 4, 5, 6
  • [2] Les trois volumes de “I Quaderni” dépassent les 2.000 pages imprimées, mais leur traduction française n’est pas terminée.
  • [3] Le Dr Jean Caux demeure à Paris. Il est membre du CIELT (Commission Internationale pour Examiner le Linceul de Turin) une commission scientifique internationale mise sur pied pour examiner le Saint Suaire de Turin, afin de savoir si oui ou non ce linceul aurait pu envelopper le Corps du Christ.
  • [4] Les scientifiques qui ont examiné ce morceau de tissu l’ont daté du Moyen Âge (13e/14e siècle), mais cette datation contredit les éléments historiques, en plus de contredire les résultats obtenus dans d’autres domaines de la science par des spécialistes eux aussi dignes de foi.
  • [5] Au cours de l’été 1998 le Pape Jean-Paul II s’est rendu à Turin pour vénérer publiquement le Saint Suaire qui y était exposé. En cette occasion le Pape a été imité par des foules considérables de fidèles.
  • [6] Le Dr Caux nous informe que pour le Suaire ces examens pourraient être réalisés sur le morceau de tissu qui a déjà été prélevé à Turin, le 21 avril 1988. Ce morceau n’a pas été utilisé par les laboratoires d’Oxford, Tucson, et Zurich.

 

9 - Hymne aux Tabernacles. (Alexandrina-Maria Da Costa).

Alexandrina-Maria Da Costa s’éteignit le soir du 13 octobre 1955. Ses funérailles furent une véritable apothéose. En signe de respect, et pendant une semaine entière, les paysans et les artisans de son village (Balazar, au Portugal) cessèrent de chanter et portèrent le deuil. Tous ceux qui connaissaient Alexandrina la considéraient comme une crucifiée de l’Amour. Aujourd’hui la petite chambre où s’est consommé son sacrifice est visitée par des gens qui arrivent des quatre coins du monde. L’autorité ecclésiastique du diocèse a pris des dispositions pour que soient recueillies dans l’ordre les nombreux témoignages de grâces que les gens reçoivent par son intercession. Alexandrina a écrit une prière, que les gens qui la récitent ont fini par appeler: “Hymne aux Tabernacles”.

Hymne aux Tabernacles.

«Jésus, voici votre Maman. Je vous prie de l’écouter. ( ... )  Et vous, chère Maman, allez embrasser avec amour tous les Tabernacles du monde. Je vous prie de leur donner une infinité de baisers, accompagnés d’un océan de caresses. Tout cela pour Jésus qui est présent dans le saint Sacrement de l’autel, et pour la Sainte Trinité.

Multipliez vos baisers d’amour pur, et offrez-les pour ceux qui voudraient se rendre jusque là mais ne peuvent pas le faire à cause de la maladie qui les tient prisonniers.

Ô mon Jésus, je veux que chaque seconde de ma vie, que chaque palpitation de mon cœur, que chacune de mes respirations et chacune de mes douleurs, soit reçue par Vous comme un acte d’amour, en l’honneur de vos Tabernacles.

Je veux que chaque mouvement de mes pieds, de mes mains, de mes lèvres, de ma langue, de mes yeux, soit reçu par Vous comme un acte d’amour, en l’honneur de vos Tabernacles.

Je veux que chacune de mes larmes, que chacun de mes sourires, que chaque mouvement de gaîté ou de tristesse, chaque tribulation, distraction, ou contrariété soit reçu par Vous comme un acte d’amour, en l’honneur de vos Tabernacles.

Je veux que chaque lettre des oraisons que je réciterai, ou que j’entendrai réciter par d’autres, que chaque lettre que je prononcerai ou que j’entendrai prononcer, que chaque lettre que je lirai ou que j’entendrai lire, que j’écrirai ou que je verrai écrire, que je chanterai ou que j’entendrai chanter, soit reçue par Vous comme un acte d’amour, en l’honneur de vos Tabernacles.

Je veux que chaque baiser que je Vous donne dans vos saintes images, dans celles de votre Mère bien-aimée, qui est aussi la mienne, et dans celles de vos saints et de vos saintes, soit reçu par Vous comme un acte d’amour, en l’honneur de vos Tabernacles.

Ô Jésus, je veux que chaque goutte de pluie qui tombe du ciel sur la terre, que tout le sable de la mer, que tout ce que la mer contient, que toute l’eau du monde offerte goutte à goutte soient reçus par Vous comme autant d’actes d’amour, en l’honneur de vos Tabernacles.

Je Vous offre les feuilles des arbres et tous les fruits que ces arbres peuvent produire; je Vous offre les fleurs qui sont dans le monde, pétale après pétale, et toutes les graines de semence qui sont sur la terre; je Vous offre tout ce qui se trouve dans les jardins potagers et dans les champs cultivés, dans les vallées et dans les montagnes, je Vous offre ces choses comme autant d’actes d’amour, en l’honneur de vos Tabernacles.

Ô Jésus, je Vous offre les plumes des oiseaux et leurs chants, les poils des animaux et leurs voix comme autant d’actes d’amour, en l’honneur de vos Tabernacles.

Ô Jésus, le jour et la nuit, le chaud et le froid, le vent, la neige, la lune, ses rayons, le soleil, l’obscurité, les étoiles du firmament, mon sommeil, mes rêves, je Vous les offre avec amour, en l’honneur de vos Tabernacles.

Ô Jésus, je Vous offre tout ce qu’il y a dans le monde, grandeurs, richesses, et trésors; je vous offre tout ce qui m’arrive, tout ce que j’ai l’habitude de Vous offrir, et tout ce qu’on peut imaginer Vous offrir. Veuillez l’accepter comme acte d’amour, en l’honneur de vos Tabernacles.

Ô Jésus, veuillez accepter le ciel, la terre, la mer et tout ce qu’ils contiennent comme si tout cela était à moi, et que je pouvais en faire ce que je veux. Je Vous l’offre comme un acte d’amour, en l’honneur de vos Tabernacles. »